Le patient a le choix entre
plusieurs formes de masque.
Il doit arbitrer entre :
- Un masque facial qui diffuse l’air vers le nez et la bouche,
- Un masque nasal qui diffuse l’air vers le nez et ne couvre pas la bouche,
- Un masque narinaire qui oriente l’air directement dans les narines grâce à deux inserts souples et qui ne couvre pas votre bouche.
Son choix dépend du confort que lui procurera ce masque en fonction de ces habitudes de sommeil. Ainsi, le masque nasal recouvre le nez avec l’arête nasale, la face interne des pommettes et la lèvre supérieure comme points d’appuis. Il ne constitue donc pas une bonne option pour une personne qui respire par la bouche la nuit.
Plus volumineux et plus couvrant, le masque facial continue à fonctionner, y compris lorsque le patient souffre de congestion nasale en raison d’un rhume ou d’une allergie par exemple.
En revanche, au-delà de sa grande efficacité, ce type de masque peut générer une certaine claustrophobie chez certaines personnes. Ces derniers opteront sans doute plus volontiers pour le minimalisme d’un masque narinaire qui laisse le nez et la bouche complètement découverts.
Bon à savoir : Il existe désormais une autre alternative au masque nasal : le masque subnasal, un masque peu volumineux et qui n’entrave pas la vision. Une bonne solution pour ceux qui aiment lire dans leur lit ou regarder la télévision juste avant de s’endormir ou qui souhaitent un masque avec le moins de points de contact possibles sur leur visage pour éviter tout risque d’irritation.