Les ronflements ont un vrai retentissement sur la vie quotidienne du ronfleur. En plus d’empoisonner la vie de son partenaire de lit (un ronflement très fort peut atteindre 100 dB c’est-à-dire le niveau sonore de l’utilisation d’un marteau-piqueur
[2]), les ronflements constituent un stress auditif pour le ronfleur lui-même et qui perturbe son cycle de sommeil même si celui-ci ne se réveille pas. C’est donc un facteur de fatigue diurne mais aussi d’augmentation de la tension artérielle
[3], [4], avec à la clé un risque cardio-vasculaire.
Mais alors … Que faire ? Et si la réponse résidait dans une médecine millénaire venue d’Orient ? L’acupuncture ou plus exactement une des branches de cette médecine traditionnelle chinoise : l’acupression. Cette méthode thérapeutique utilisée depuis plus de 5.000 ans, également appelée acupuncture sans aiguille, consiste à stimuler des points de pression spécifiques pour faire circuler l’énergie (le Chi) le long des méridiens. En harmonisant la circulation de cette énergie vitale, l’acupression corrige les déséquilibres du corps et réharmonise son fonctionnement.